Les tatouages sont devenus un phénomène de société. Ils étaient auparavant réservés aux prisonniers, aux gangs afin de pouvoir garantir leurs appartenances à certains groupes ou pour laisser une trace sur leurs peaux d’une partie de leurs histoires personnelles. Ils sont utilisés également, de manière plus pratique et moins esthétique depuis toujours pour marquer le bétail.
Mais la société moderne a rendu le tatouage populaire, et une grande partie de la population s’y est mise : pour imiter leurs idoles et les vedettes, ou alors pour prouver que leurs corps leur appartiennent. Marqueurs d’une époque de vie, de modes, de relations aux corps ; ils sont devenus une forte tendance et sont omniprésent. Qu’il s’agit de gros tatouages visibles, ou de plus petits dans des parties plus intimes du corps, une grande partie de la population en possède. Un tiers en France, presque la moitié en Italie selon les statistiques. Et probablement bien plus dans d’autres pays sur d’autres continents (Japon, Corée du sud, Mexique…).
Mais les tatouages sont ils anodins ? Y a t il des aspects occultes par le fait de s’imprimer sur le corps de manière définitive une phrase, un animal, un objet…? Chaque dessin, chaque symbole est en fait une onde de forme : de par sa forme et son égrégore qui lui ai associé (un égrégore est une forme pensée provenant de l’activité humaine).
Un tatouage de serpent ou du visage d’une star par exemple va imprégner le corps d’une certaine fréquence correspondant à la signature vibratoire du serpent, ou à la mémoire collective de la star.
Car tout n’est qu’énergie, fréquence et vibration. La définition des ondes de forme a été élaboré pour la première fois par André de Bélizal et Léon Chaumery : « les formes captent le magnétisme terrestre, s’en saturent et réémettent l’énergie captée en une onde de forme. Si la forme est symétrique, régulière, l’onde de forme émise est bénéfique ; si la forme est irrégulière, asymétrique, l’onde de forme réémise est maléfique, pathologique”. On peut rajouter que la forme d’un tatouage capte également la mémoire collective de ce qu’elle représente.
La forme peut être donc bénéfique ou maléfique. C’est identique pour les égrégores : certains sont positifs et évolutifs, harmonieux et élevés, d’autres toute le contraire. Selon Hélène Bernet : “La musique inaudible des formes ambiantes est subtile. Elle module les champs d’énergie de nos cellules et cette influence reste souvent inconsciente”.
Donc les tatouages peuvent nous imprimer sur nos cellules et nos corps subtils leurs propres vibrations. Ils peuvent influencer notre signature vibratoire générale en y ajoutant leurs propres fréquences qui sera alors captée par le corps. La force et la caractéristique de ces influences dépendent de la grandeur du ou des tatouages, et surtout de leurs aspects vibratoires, de la mémoire de ce qu’ils représentent.
Se faire faire un tatouage est donc loin d’être anodin : il nous met en lien avec ce qu’il représente et imprimer jusqu’au plus profond de notre corps sa signature vibratoire.
SI vous vous être tatoué une forme négative ou limitative, et que vous avez des regrets, sachez que toute forme peut être transcendée. L’esprit domine la matière, et il est toujours possible de dépasser les limites vibratoires et subtiles des tatouages : en lui rajoutant une intention particulière, en modifiant sa forme ou sa mémoire, en l’effacant (des technologies modernes existent).